« Inception est l’art de planter une idée dans l’esprit. »

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Loïc

Président du Cercle et Rédacteur

Loïc est concepteur graphique depuis plus de 3 ans, gère la ligne éditoriale de notre blog. Passionné par les films romantiques et de science-fiction, il a un faible pour les œuvres de Christopher Nolan et les « mindfuck movies ». Grand amateur de mangas et d’anime, il aime aussi les cafés et les jeux vidéo. Il a découvert sa passion pour le cinéma il y a deux ans et consomme régulièrement des films et séries désormais.

Cette phrase, après le visionnage de Inception, m’a beaucoup inspiré et est très marquante. Premier film de Nolan que je voyais à ce moment là et déjà un premier coup de cœur parmi sa filmographie.

Christopher Nolan à l'avant-première de Oppenheimer - Samir Hussein

Qui est Christopher Nolan ?

Pour ceux qui découvrent le cinéma, ou même pour les plus aguerris qui manqueraient d’informations, voici qui est cet homme désormais bien ancré dans le milieu du cinéma contemporain.

Réalisateur britannico-américain de 53 ans influencé par la SF, Ridley Scott ainsi que 2001, l’odyssée de l’espace, Christopher Nolan est diplômé de l’UCL (University College de Londres). Un parcours non traditionnel pour le cinéma puisqu’il y a étudié la littérature anglaise. C’est d’ailleurs ici qu’il y rencontre sa femme Emma Thomas qui est actuellement productrice pour lui. Ensemble ils ont d’ailleurs créé une société de production du nom de ‘Syncopy’ qui a produit tous les films de Nolan hormis Memento et Insomnia.

Il commencera sa carrière cinématographique par deux courts métrages, Larceny et Doodlebug au milieu des années 90 avant de sortir son premier long métrage Following en 1998, thriller où l’on suit un romancier qui file les gens dans la rue pour s’imaginer leurs vies jusqu’à ce qu’il croise un cambrioleur qui l’entraîne dans ses délits. Ses premières nominations aux Oscars arrivent relativement tôt. Dès son second film, Memento, avec une nomination pour le meilleur scénario original et une pour le montage. Cela fera décoller sa carrière immédiatement car dès son prochain long-métrage, de grosses pointures lui feront confiance notamment en la personne de Al Pacino et Robin Williams qui deviennent les têtes d’affiches de Insomnia. Par la suite, il sera choisi pour reprendre la franchise Batman, ce super-héros sombre sera joué par Christian Bale pour une trilogie décrite par beaucoup comme une des meilleures existantes. Le deuxième opus fait d’ailleurs remporter ses deux premiers Oscars au réalisateur. Le premier pour le montage du son, et un deuxième malheureusement post-mortem pour Heath Ledger et son incarnation mythique du Joker.

Heath Ledger en Joker pour Batman The Dark Knight

Depuis, ce n’est pas moins de 5 films, 15 Oscars (dont 7 pour Oppenheimer, sans compter d’autres récompenses (Bafta, Golden Globes, Critics Choice etc), de quoi faire rougir bien des réalisateurs.
Maintenant que j’ai pu vous retracer son parcours , la question qu’il faut désormais se poser, c’est: comment est-il parvenu à avoir un succès si indéniable ?

De grandes inspirations

Les passages sont tirés de l’interview entre Jeffrey Ressner et Christopher Nolan, le lien pour plus de détails est à retrouver en bas de l’article

Parmi ceux déjà cités, Kubrick a beaucoup inspiré Nolan pour Interstellar notamment avec 2001 l’odyssée de l’espace. Il le dit lui même:

« Je l’ai vu quand il est ressorti en Angleterre suite au succès de Star Wars et de la [tendance aux science-fiction]. Mon père nous avait emmenés mon frère et moi à Leicester Square, où l’on peut trouver les plus grands cinémas de Londres. Je me rappelle très clairement m’être senti transporté dans un autre monde. J’étais un très grand fan de Star Wars à cette époque. Mais c’était une toute autre approche de la science-fiction. J’avais sept ans, donc je ne pouvais pas prétendre avoir compris le film. Je ne peux toujours pas le prétendre. Mais à sept ans, je me fichais de comprendre le film. J’ai juste eu cette sensation extraordinaire d’être emporté dans un autre monde. Je ne soupçonnais pas l’existence d’un tel monde [en parlant du cinéma ne doutais pas de ce monde un seul instant. Il était d’une qualité plus grande que nature. »

Parmi la science-fiction, j’ai déjà pu citer également Ridley Scott, avec Alien et Blade Runner qui peut être considéré comme une source d’inspiration incontestable  pour Nolan, ce dernier film étant souvent cité comme étant son favori. Il trouve notamment que ces deux derniers : (…) sont deux histoires bien distinctes, avec des acteurs différents, tout est différent en soi, mis à part un élément qui relie intrinsèquement les deux films, et l’élément en question étant le réalisateur lui-même . C’est le genre de travail qu’il souhaite faire et, personnellement, je trouve qu’il y parvient parfaitement car il a réussi à trouver son style, surtout dans la narration et le thème du temps omniprésent qui fait que ses films sont reconnaissables peu importe l’univers. Il n’est évidemment pas le seul à qui l’on peut reconnaître les travaux, cependant réussir à voir cette adaptabilité peu importe le style de film et le sujet utilisé le fait se distinguer à mes yeux des autres. 

Côté littérature, j’ai noté que l’une de ses inspirations inclut “Waterland” de Graham Swift qu’il a lu à 16 ans qui raconte une histoire en différentes dimensions tout en restant cohérent. L’histoire se situe dans une région marécageuse de l’Angleterre, les Fens et on y suit une lignée familiale à travers plusieurs histoires et époques historiques différentes, toutes racontées par le même personnage, Tom Crick, un professeur d’histoire. Pour d’autres œuvres filmiques un peu moins célèbres, on retrouve deux films de Nicolas Roeg avec les films Performance  et L’homme qui venait d’ailleurs ont aussi eu un impact. Le premier relate l’histoire d’un truand recherché pour avoir commis un meurtre. Ce dernier trouve refuge chez une rock star décadente auprès de qui il se fait passer pour un artiste. Le second parle de Newton, venu d’une autre planète atteint par la sécheresse sur Terre pour chercher de l’eau. Il est venu bâtir un monde industriel avec ses compétences technologiques futuristes. Il entreprend également de construire un vaisseau afin de rentrer chez lui, mais c’est là qu’il fait la rencontre d’une femme qui va bouleverser les choses.

David Bowie dans L'Homme qui venait d'ailleurs

Les acteurs avec qui il travaille contribuent aussi à sublimer, voire surélever les attentes scénaristiques et cinématographiques de son audience. Il parle d’ailleurs de ses capacités d’adaptation à toutes épreuves dans l’interview, où il donne l’exemple de Guy Pearce dans Memento. Une des scènes qu’il devait tourner a été observée en direct par le financeur du film et il pensait que la prise était bonne, toutefois, l’acteur semblait pouvoir livrer une meilleure performance. Après un moment d’hésitation, Nolan a laissé une chance pour une nouvelle prise et c’est celle qui a été gardée pour le film, car elle allait bien au-delà de ce qu’il imaginait faire initialement. Depuis, il laisse soin aux acteurs de décider s’ils pensent avoir besoin de plus de prises, quitte à ce que cela prenne plus de temps, car cela ne représente pas tant.

Une confiance sans faille

On le sait, les réalisateurs sont connus pour avoir des acteurs que l’on  retrouve plusieurs fois dans leurs films. Et ce n’est pas Christopher Nolan qui échappe à cette règle. Ces acteurs ont parfois tenus des propos particulièrement élogieux à l’égard du réalisateur.
Les derniers en date sont les deux oscarisés Cillian Murphy et Robert Downey Jr pour Oppenheimer. Le premier pour “Meilleur rôle principal masculin” et le second pour “Meilleur rôle secondaire masculin”. En effet, dans une interview avec Vanity Fair, ils ont évoqué plusieurs aspects qui attestent du respect et de la confiance mutuelle qu’il y a entre Christopher Nolan et les acteurs avec lesquels il tourne. Pour commencer, il vient toujours voir en personne ses acteurs pour leur donner le script, qui est imprimé en encre noir sur du papier rouge. Selon eux, c’est “très dur à lire”, mais ils se disent [privilégiés]de pouvoir le lire”. Généralement, Cillian accepte sans même avoir lu le script, prouvant sa confiance en lui. Il ajoute que personnellement, il a besoin de se sentir intimidé et que c’est impossible de jouer en lisant le script. S’il se dit qu’il sait comment jouer une telle scène, il n’est pas intéressé. On peut supposer qu’au vu de ses nombreuses apparitions dans les films de Nolan, il est normal qu’il se sente/puisse se sentir stimulé par ses scripts. Ensuite, Robert Downey Jr a évoqué que Nolan ne laisserait pas un acteur “performer” ce dont lui se verrait comme étant incapable de reproduire à 100%, , même si c’est deux fois plus dur. Cillian a rebondi sur ce que relatait Downey Jr en apportant sa propre anecdote à ce sujet, et ce, en donnant un exemple de ce qui s’est passé sur le tournage de Dunkerque : en effet son personnage était censé se tenir sur un navire qui chavirait. Toutefois, personne sur le tournage n’était sûr de vouloir le mettre dans cette situation étant donné la météo et les conditions générales. Nolan a décidé de se mettre à sa place, il a tout fait comme Cillian était supposé le faire Une fois tous ces points réunis et ces vérifications faites lui-même, ce n’est qu’à ce moment-là que Cillian a pu se rendre sur le navire en question afin de filmer la scène. On imagine donc la pression que cela peut mettre sur un acteur, et aussi, ce que ceci peut lui insuffler comme stimulation d’être sur ce type de lieux de tournage. Je comprends mieux ce que Cillian voulait dire quand il dit que selon lui, il a le sentiment que les autres réalisateurs ne sont guère à la hauteur de ce qu’il attend en terme d’investissement, car Nolan sait faire preuve de rigueur et d’efficacité, allant droit au but quand il s’agit de travail, et que c’est possiblement pour cette raison qu’il apprécie collaborer plusieurs fois avec les mêmes personnes.

Robert Downey Jr. et Cillian Murphy aux Oscars 2024 - Christopher Polk

Venons-en à ces fameuses collaborations répétées. Car s’ils reviennent à de nombreuses reprises, une raison doit bien exister à cela. La confiance joue probablement un grand rôle là-dedans, sinon, ils ne signeraient pas de nouveau. En terme de diversité d’acteurs, on compte au nombre de neuf ceux qui sont apparus plus d’une fois dans des films de Nolan (On omet les rôles mineurs ainsi que Morgan Freeman qui n’est apparu que dans la trilogie Batman). Pour la plupart, leurs noms sont très connus. A commencer par Matt Damon et ses apparitions dans Oppenheimer et Interstellar, Anne Hathaway, deux apparitions également pour Interstellar et le 3e volet de Batman. Avec un film de plus, on a Tom Hardy pour des rôles dans Interstellar, The Dark Knight Rises et Dunkerque. Christian Bale en est lui à 4 films, avec l’entièreté de la trilogie Batman, ainsi que The Prestige. A la 2e place on a Cillian Murphy avec pas moins de 6 apparitions, dont les 3 Batmans, Inception, Dunkerque et son premier rôle principal pour Oppenheimer. La première place quant à elle appartient à Michael Caine, présent dans 8 films, allant de la trilogie Batman, à Interstellar, Tenet, Dunkerque, Inception et The Prestige pour des rôles plus ou moins importants, dépendant des films. Toute une panoplie d’acteurs qui ont su reconnaître le travail de Nolan à sa juste valeur en mon sens pour renouveler l’expérience plus d’une fois. 
Pour terminer, il y a une dernière collaboration dont on n’a pas parlé qui est, quant à elle, familiale On ne citera bien jamais assez sa femme Emma Thomas qui travaille à ses côtés au quotidien, mais plutôt du côté de son petit frère Jonathan Nolan. Ce dernier est scénariste et il a notamment collaboré avec Christopher lors de 5 films, Memento, Le Prestige, les deux derniers Batman, ainsi que Interstellar. A lui seul,on le reconnaît pour avoir notamment créé, réalisé et produit 3 séries: Person of Interest, Westworld, et cette année, vous pourrez le retrouver avec la série à succès adapté du jeu vidéo, Fallout.

Ella Purnell dans la série Fallout

Il est donc tout naturel que des personnes de tous les secteurs du cinéma soient donc attirées à collaborer avec Christopher Nolan au point de réitérer l’expérience à plusieurs reprises.

Des thèmes impactants

Le cinéma de Christopher Nolan, la raison pour laquelle les acteurs ont confiance en son travail, c’est qu’il parvient à se distinguer par la richesse et la profondeur des thématiques qu’il explore. Ses films, loin d’être de purs divertissements, invitent à une réflexion profonde sur des questions existentielles et philosophiques qui touchent au cœur de l’humain.

Certains thèmes, tels que la nature du temps et de la réalité, la quête d’identité, la morale, les limites de la perception humaine, la puissance de l’inconscient, et la condition humaine reviennent sans cesse dans la filmographie de Nolan, tissant une toile  imprégnée de divers univers s’imbriquent les uns les autres, laissant d’autres mondes s’étendre à soi.

On pourrait y voir une manière employée par le réalisateur pour nous faire passer sa vision du monde : un monde dans lequel la vérité est une valeur fondamentale ; un monde dans lequel l’amour et la gravité sont des forces universelles ; un monde dans lequel ceux qui mentent sont punis.

Le thème le plus récurrent et qui rend particulier les films de Nolan de prime abord est la notion du temps et de la réalité et comment ceci est utilisé.  Memento, son premier long-métrage, se distingue par sa narration désordonnée. Étant donné que l’on suit un amnésique qui essaie de reconstituer son passé, le spectateur voyage fragment par fragment, tentant lui aussi de reconstituer le fil de son passé (et pourquoi pas, de son destin). Ce qui rend le tout sacrément décousu. Si on y ajoute son problème d’amnésie, tout cela mène l’audience à se demander si ses souvenirs et sa manière de les retenir sont fiables et si la réalité est vraiment ce qu’elle paraît être. Autre exemple de l’utilisation de la réalité, c’est Inception. En effet, le principe même du film repose sur la capacité des personnages à pouvoir pénétrer les rêves des gens afin d’y obtenir des informations pour parvenir à leurs buts. Tout est donc question de conscience, de distinction entre ce qui est réel et ce qui ne l’est pas.

Et pour revenir au sujet du temps, force est de constater le thème le plus récurrent. Beaucoup des films de Nolan jouent de ça. Interstellar est l’un d’entre eux mais tout en étant linéaire. Ici, la question du temps est liée au sujet du film qui est le voyage dans l’espace-temps. Ce temps passe différemment selon les planètes, et il y est également question de trous noirs et de trous de vers, ce qui amène à une distorsion du temps tel qu’on le perçoit.Un autre exemple marquant est celui de Tenet. Ici, le temps est même inversé. Tout objet ou personne peut être relié à cette inversion de temps qui entraîne grâce à ça d’autres questions plus profondes. Vu qu’on est capables d’inverser le temps, on peut modifier notre passé. Donc rien est gravé dans le marbre, quel contrôle on a sur notre destin et sur les possibilités de changer notre monde et son histoire.

John David Washington dans Tenet

D’autres exemples sont plus pour créer une trame moins linéaire, comme pour Oppenheimer. Afin de donner du contexte au cours du films, deux temporalités sont utilisés: Une en noir et blanc, qui est le “présent” du film, où se situe le procès contre Robert Oppenheimer, et les scènes en couleur qui relate les faits du film.

Pour aborder le second thème de Nolan, la quête d’identité, deux films sont principaux à retenir, il s’agit du tout premier film de Nolan, Following ainsi que le premier film de la trilogie qui l’a vraiment lancé dans l’univers du cinéma, Batman Begins.

Dans le 1er film, le protagoniste est un jeune écrivain qui prend en filature des personnes dans la rue pour s’imaginer leur vie. Il crée lui-même une identité à ces personnes qu’il s’approprie et de façon sous-jacente cela remet en question sa propre identité. Pour Batman Begins, on est en plein dans la création d’identité, sur ce que souhaite incarner Bruce Wayne auprès des autres à travers ce costume de chauve-souris. Il remet en question sa manière de faire, sur ce qui est juste ou non, sur comment il doit faire régner l’ordre, tout part de son identité sur laquelle il est toujours interrogé même dans les autres volets, The Dark Knight et The Dark Knight Rises.

Pour ce qui est des limites de la perception humaine, le sujet est fortement lié à celui de la réalité, car celle-ci est propre à chacun. Ici, les mêmes exemples peuvent être cités, Memento ainsi que Inception en sont les principaux concernés. Dans Memento, comme je le mentionnais, il est question d’un amnésique, en conséquent, sa perception de ce qu’il essaie de se remémorer grâce à ses polaroids est modifié. En tant que spectateur, au début on est crédule et on croit ce qui est écrit mais plus le récit avance, plus les événements nous amènent à douter de la véracité des informations qui nous sont données. 

Quant à Inception, le mélange dans la narration de rêve et de réalité en permanence peut nous faire douter comme les personnages de là où l’on se situe. Pour aller encore plus loin, il est possible de rentrer dans un rêve qui est imbriqué dans un rêve, ce qui plonge encore plus dans le doute permanent de ce que l’on perçoit.

Leonardo DiCaprio dans Inception

Ce ne sont que quelques exemples plus précis des nombreux thèmes cités au début, mais cela montre la diversité et la profondeur des sujets abordés dans les différents films de Nolan. A travers des récits non linéaires et une narration quelque peu complexe, il parvient à nous transporter dans des univers très différents mais reliés entre eux par un seul et même biais, lui-même. Le même procédé qu’il trouvait dans Alien et Blade Runner plus jeune, il l’a transposé dans ses propres films. Des films uniques, mais reconnaissables par une pâte personnelle réussie.

Après toutes ces explications et ces exemples, il est peut être plus facile pour vous de visualiser qui est Christopher Nolan et comment il est devenu un grand réalisateur à travers ses thèmes et la confiance mutuelle avec ses équipes. Son influence sur l’industrie du cinéma est indéniable, et ses films continuent d’inspirer et de divertir les spectateurs du monde entier. Nous n’avons encore aucune date ou information précise sur son prochain film mais il sera très surement attendu au tournant. Pour ma part, j’ai très hâte de la suite, étant devenu assez rapidement mon réalisateur préféré. Il ne me manque plus que 3 de ses films à découvrir pour avoir tout visionné de lui et il ne saurait tarder.

Et vous, que pensez-vous de Christopher Nolan ?

SOURCES:

Movierama

DGA

https://www.youtube.com/watch?v=lzLm2e0Fztw

CNBC

Screen Rant

Parent Galactique

https://www.youtube.com/watch?v=3mye3rt2ONs

Screenshot_20240602_042112_Instagram

Falowne Chapelle

Rédactrice en Chef

Falowne est notre rédactrice en chef, issue du parcours master en arts et culture visuelle dans les pays anglophones (université de Paris-Cité), couvrant ainsi l’étude de la peinture, de la photographie, des arts plastiques et multimédia, du cinéma anglais et américains, de la culture visuelle et des pratiques contemporaines de l’image (ex: les jeux vidéo). Actuellement mastérante en Interculturalité et métiers de la culture à l’université Savoie-Mont-Blanc, elle explore le cinéma mondial, avec un intérêt particulier pour les films asiatiques. Spécialisée dans les films dramatiques et les thrillers psychologiques, Falowne aime analyser les relations humaines à l’écran. En dehors de ses études, elle écrit, chante, et streame ses réflexions culturelles ou son jeu favori, League of Legends.

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